Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

News Maroc

23 décembre 2009

Maroc : Environnement, Sac en plastique noir : finissons-en

A elle seule, la durée de vie des sachets en plastique noirs, de 4 siècles avant leur décomposition dans la nature, justifie l'interdiction de leur fabrication et de leur utilisation dans les commerces au profit de sachets en matières biodégradables.

Si on y ajoute leur nombre, estimé à 3 milliards d'unités par an au Maroc, toutes couleurs confondues s'envolant au gré des vents aussi bien en ville qu'en rase campagne, le fléau apparaît bien réel et l'interdiction devient une urgence. Mais ayant tellement sévi dans le quotidien, les sachets noirs en particulier, qui, tout en portant préjudice à l'environnement préservaient la discrétion du contenu, deviendraient-ils un mauvais souvenir de sitôt ? Sur le plan de la réglementation, l'interdiction est déjà chose faite, depuis l'arrêté ministériel publié dans le Bulletin Officiel du 4 juin 2009, devant prendre effet 3 mois après sa publication, c'est-à-dire depuis le 4 septembre 2009. Cependant, dans la pratique, la lutte contre la prolifération des sacs en plastique noirs semble de longue haleine et l'agenda a prévu, en concertation avec les professionnels, la poursuite de la phase préalable d'information, de communication, de vulgarisation et de sensibilisation des fabricants, distributeurs et petits commerçants, avec l'espoir d'en venir à bout.

Après le coup de semonce, le contrôle prendra le relais, suivi de la répression de toute infraction à la nouvelle réglementation, à savoir l'arrêté conjoint du ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles Technologies et du ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement. C'est le message qui ressort d'une rencontre organisée dernièrement à la Chambre de Commerce de Casablanca, par la délégation du ministère du Commerce, en présence de représentants du secrétariat d'Etat chargé de l'Eau et de l'Environnement et d'opérateurs économiques. L'arrêté rend obligatoire, en effet, l'application de la norme marocaine NM 11.4.050 relative à l'emballage en matières plastiques et les exigences qualitatives et de préservation de l'environnement pour les sacs pour produits de consommation en matières plastiques. La norme réglemente également la qualité des sacs en plastique en général qui ne doivent plus contenir de matière colorante noire et avoir une épaisseur supérieure à 35 micromètres, des soudures selon les règles et être exempts d'amorce de chute, tout en étant résistant au remplissage en tant qu'emballage (subir l'essai de choc).

Source : LeMatin

Le Maroc est une destination de voyage de premier choix. Il offre une multitude de possibilité de voyage pour découvrir le pays pour tous les goûts. Internet permet actuellement de programmer votre voyage pour longtemps ou opter pour des voyage pas cher à 15 jours avant votre départ. C'est la formule la plus utilisée maintenant puisqu'elle permet de payer son voyage moins cher.

Publicité
Publicité
23 décembre 2009

Maroc : Matières Premières, L'horizon n'est pas entièrement dégagé

Céréales : Le prix du blé et du maïs restait relativement stable lundi à la mi-journée dans un marché sans visibilité et amorphe. Selon les opérateurs, les marchés des céréales, dans le contexte actuel d'incertitude économique et de fondamentaux lourds, manquent de visibilité.

Ils évoluent au gré des fluctuations de l'euro et du dollar et ne génèrent que peu d'activité en cette période de trêve hivernale. Les marchés ne brasseront que peu d'affaires dans les jours à venir en raison de la fermeture des organismes stockeurs dont la réouverture des portes est prévue dans les premiers jours de janvier.

Sur un marché physique (gré à gré) déserté par ses principaux acteurs à l'approche des fêtes de fin d'année, la tonne de blé de qualité standard livrée à Rouen était reconduite à 120 euros et l'orge à 97 euros. Sur le Rhin, le maïs restait affiché à 131 euros (fob).

Pétrole : L'Opep, qui vient de clore une brève réunion sur le sol angolais, a maintenu hier mardi comme prévu ses quotas de production de pétrole en se félicitant des prix du baril, même si la fragilité de la reprise économique mondiale continue à jeter une ombre.

Rassemblés à Luanda, les douze Etats membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) maintiennent donc leur objectif de production à 24,84 millions de barils par jour (mbj), un niveau décidé il y a un an pour enrayer la chute du baril tombé à 32 dollars.

Depuis, les cours se sont rapidement ressaisis et évoluent aujourd'hui autour de 75 dollars. La peur panique qui s'était emparée des pays producteurs, inquiets de voir leurs ressources se tarir, laisse donc place à une satisfaction évidente.
L'horizon n'est pourtant pas entièrement dégagé : l'abondance de l'offre pétrolière et la fragilité de la demande risquent toujours d'entraîner les prix du pétrole à la baisse.

Les stocks de brut atteignent des niveaux historiquement élevés dans les pays riches. 55 millions de barils de brut et 98 millions de barils de produits pétroliers s'entassent par ailleurs dans des bateaux à l'ancre, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).

Or : L'or a terminé en baisse hier mardi à Hong Kong à 1.094,50 dollars l'once, contre 1.113,50 dollars lundi en clôture. L'once d'or avait ouvert à 1.094,50 dollars américains.

Source : LeMatin

Le Maroc est une destination de voyage de premier choix. Il offre une multitude de possibilité de voyage pour découvrir le pays pour tous les goûts. Internet permet actuellement de programmer votre voyage pour longtemps ou opter pour des voyage pas cher à 15 jours avant votre départ. C'est la formule la plus utilisée maintenant puisqu'elle permet de payer son voyage moins cher.

23 décembre 2009

Maroc : Énergie solaire, Le financement assuré

Le Maroc est l'un des premiers pays de la région MENA à bénéficier du Fonds pour les technologies propres

En fait, le Royaume est l'un des premiers pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) à bénéficier du Fonds pour les technologies propres (FTP), l'un des deux fonds d'investissements climatiques créés par la Banque mondiale. Ainsi, ce fonds réserve au Maroc une bonne part des 750 millions de dollars qu'il compte investir dans l'énergie solaire concentrée dans cette région. Ce financement qui a été approuvé récemment vise à accélérer le déploiement de l'énergie solaire concentrée, une initiative qui s'inscrit dans le cadre d'un plan d'investissement qui mobilisera encore 4,85 milliards de dollars supplémentaires, dont l'objectif final est de contribuer aux efforts d'atténuation du changement climatique.

Pour ce faire, le Fonds investira dans les programmes d'énergie solaire concentrée de cinq pays de la région MENA : Maroc, Égypte, Jordanie, Tunisie et Algérie. Pour réaliser son objectif, expliquent les responsables du FTP, ce plan d'investissement soutiendra le déploiement d'une capacité de production d'environ 1 gigawatt d'énergie solaire concentrée, ce qui représente environ 15% des projets d'énergie solaire concentrée à l'échelle mondiale et une augmentation de 200 % de la capacité en énergie solaire concentrée installée d'ici 2020. De même, ajoutent-ils, ce plan se propose de soutenir les infrastructures de transmission connexes au Maghreb et au Machrek pour l'approvisionnement domestique et l'exportation, dans le cadre d'une amélioration de la grille méditerranéenne qui permettra l'intensification de la production d'énergie solaire concentrée grâce à l'intégration du marché dans la région.

Le fonds œuvrera également par le biais de ce financement à l'optimisation des investissements publics et privés pour les centrales d'énergie solaire concentrée, permettant ainsi de tripler les investissements dans l'énergie solaire concentrée à l'échelle mondiale. Il s'agira aussi d'aider les pays de la région MENA à atteindre leurs objectifs de développement en matière de sécurité énergétique, de croissance industrielle, de diversification économique et d'intégration régionale. Par ailleurs, il est à rappeler que le Maroc avait présenté en octobre dernier un plan d'investissement au siège de la Banque mondiale à Washington pour le développement à grande échelle des projets à faible teneur en carbone au Comité exécutif du FTP. Ce plan a été adopté et a bénéficié en conséquence d'un important financement (150 millions de dollars) pour soutenir le Fonds de développement de l'énergie (FDE) mis en place par le gouvernement marocain pour développer plus particulièrement les énergies renouvelables et les programmes d'efficacité énergétique. Il est destiné notamment à la production de l'électricité, au transport de phosphate par pipeline et au transport urbain à Casablanca. Il est à noter que le Maroc se dote d'une charte nationale de l'environnement et de développement durable, permettant la sauvegarde des espaces, des réserves et des ressources naturelles dans le cadre du processus de développement durable.

Il est à souligner que le FTP promeut le développement du financement pour la démonstration, le déploiement et le transfert de technologies à faible intensité de carbone ayant un fort potentiel de réduction de gaz à effet de serre à long terme. Le FTP devrait financer des programmes dans 15 à 20 pays ou régions.

Fonds de développement de l'énergie

Le FDE combiné, englobant le FTP et les financements de différentes autres sources, mobilisera au départ un montant de l'ordre de 1,5 à 2 milliards de dollars.
Le FDE a été créé grâce à des contributions de l'Arabie Saoudite (500 millions de dollars), des EAU (300 millions de dollars) et du Fonds Hassan II (200 millions de dollars). Le FDE doit être utilisé pour financer de nouvelles installations de production d'énergie, en particulier dans le domaine des énergies renouvelables, ainsi que des investissements d'économie d'énergie et pour offrir des subventions, en nombre limité, devant mettre en œuvre la stratégie énergétique.

Source : LeMatin

Le Maroc est une destination de voyage de premier choix. Il offre une multitude de possibilité de voyage pour découvrir le pays pour tous les goûts. Internet permet actuellement de programmer votre voyage pour longtemps ou opter pour des voyage pas cher à 15 jours avant votre départ. C'est la formule la plus utilisée maintenant puisqu'elle permet de payer son voyage moins cher.

23 décembre 2009

Maroc : Aucune avancée palpable

Le gouvernement et les centrales syndicales ont repris les négociations dans le cadre du dialogue social sans pour autant aboutir à de nouveaux résultats palpables.

Au cours de la réunion de lundi dernier qui s'est effectuée sans la présence du Premier ministre, presque aucune décision n'a été prise mais l'on a convenu de mettre en œuvre les points d'accord avant de passer à ceux qui font l'objet de discorde.

Un seul point positif a été enregistré, selon quelques syndicalistes. Il a trait à l'effet pécuniaire de la mesure relative au reclassement des échelles allant de 1 à 4 dans l'échelle 5. Cet effet sera comptabilisé à partir de 2008 alors qu'auparavant le gouvernement proposait 2009 et les partenaires sociaux exigeaient 2007.
Cependant, le problème persiste encore pour les collectivités locales dont les représentants syndicaux se sont engagés dans des discussions marathoniennes avec le ministère de l'Intérieur sans parvenir à un consensus autour de la question. Selon M. Handouf de l'Union marocaine du travail, le gouvernement propose, certes, de faire bénéficier les salariés des collectivités locales classés dans les échelles allant de 1 à 4 de l'augmentation des indemnités salariales. Mais, « ce n'est pas une solution car le problème de promotion va se poser pour ces salariés qui vont stagner dans ces échelles. ».

En ce qui concerne les indemnités dans les zones enclavées et éloignées, aucune définition n'a encore été livrée par l'exécutif.

Les centrales avaient, en effet, exigé d'élaborer des critères précis de ces zones pour que tous les fonctionnaires qui y travaillent bénéficient de l'indemnité au lieu de la limiter aux secteurs de l'Education nationale et de la Santé. Selon Abdelhamid Fatihi de la FDT, lors de la réunion d'avant-hier, il a été décidé de passer à la mise en application de cette mesure pour ces deux secteurs dans la perspective de la généraliser pour les autres fonctionnaires.
Une commission se chargera dans les prochains jours de l'élaboration de la définition escomptée.

Rappelons que le Premier ministre a pu régler le différend initial relatif au montant d'indemnité en prenant la décision d'appliquer 700 dirhams nets pour se conformer à la doléance des centrales syndicales alors qu'auparavant le ministère de la modernisation des secteurs publics proposait cette somme en brut.
Par ailleurs, les négociations pour les augmentations salariales, qui ont toujours constitué le point de discorde, ne sont prévues qu'en 2010, 2011. Il n'est pas question, pour le moment, d'ouvrir des discussions autour de cette question vu le contexte actuel.

Mais, les centrales qui sont prêtes à faire des concessions réclament de la part du gouvernement des efforts en ce qui concerne la promotion interne. Jusque-là, aucune avancée n'est enregistrée en la matière alors que la doléance fait partie du cahier revendicatif depuis des années.

Lors de la dernière réunion avec le Premier ministre Abbas El Fassi, le mois dernier, le gouvernement avait proposé de relever le quota de 25% à 28% ; une proposition jugée en-deçà des aspirations selon les syndicalistes.
Les centrales syndicales attendent l'intervention du chef de l'exécutif.
La réunion de lundi dernier avec le ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, celui des Affaires économiques et générales et le ministre de la Modernisation des secteurs publics est considérée par les partenaires sociaux comme une rencontre préparatoire avant de se réunir avec Abbas El Fassi. Celui-ci est appelé à apaiser les esprits des syndicalistes qui ont pris l'habitude au cours des derniers mois de réclamer sa médiation pour faire avancer le dialogue.
----------------------------------------------------------------------------

Rappel

Au cours de l'année 2009, rares ont été les réunions entre les centrales syndicales et le Premier ministre Abbas El Fassi. Celui-ci, en début de l'année, a dû intervenir pour calmer les ardeurs des partenaires sociaux qui se préparaient à organiser une marche nationale. Mais, les réunions qui ont eu lieu par la suite entre les syndicalistes et les représentants des différents ministères n'ont abouti à aucun consensus. Trois centrales syndicales, à savoir l'UMT, la FDT et l'UNTM avaient, ainsi, décidé d'unir leurs efforts pour demander la médiation du Premier ministre. Après la fin du processus électoral, deux réunions ont été effectuées entre les centrales syndicales et le gouvernement sous la présidence du chef de l'exécutif. Lequel a réussi à offrir quelques points positifs lors de la réunion du 12 novembre notamment au niveau du montant des indemnités pour les zones éloignées et enclavées. Mais, les centrales exigent davantage d'efforts.

Source : LeMatin

Le Maroc est une destination de voyage de premier choix. Il offre une multitude de possibilité de voyage pour découvrir le pays pour tous les goûts. Internet permet actuellement de programmer votre voyage pour longtemps ou opter pour des voyage pas cher à 15 jours avant votre départ. C'est la formule la plus utilisée maintenant puisqu'elle permet de payer son voyage moins cher.

23 décembre 2009

Maroc : La ville du détroit sous la pluie, les Tangérois en alerte

Les fortes précipitations qui se sont abattues sur cette cité ont semé la panique

De fortes précipitations se sont abattues lundi dernier sur la ville de Tanger provoquant des inondations d'une faible ampleur et de légères perturbations du trafic routier dans certains quartiers. Ces perturbations météorologiques interviennent alors que les Tangérois gardent toujours en mémoire les inondations de l'hiver dernier. Des inondations qui avaient provoqué la mort de plusieurs personnes et d'énormes dégâts économiques.

Heureusement, le remake de la catastrophe de l'année dernière n'a pas eu lieu et le pire a été évité. Même si les pluies ont atteint plus de 60 mm entre 6h et midi, elles n'ont engendré que de légères perturbations dues essentiellement à l'augmentation du niveau des cours d'eau traversant la ville. Les autorités locales ont affirmé qu'un plan de pré-positionnement a été enclenché avec l'implication des différentes parties prenantes dans la ville. Les quartiers de la ville répertoriés par les responsables dans la catégorie des zones à haut risque ont connu un déploiement des éléments de la protection civile ainsi que des forces auxiliaires.

La société délégataire chargée de la gestion de l'eau et de l'assainissement dans la ville a également été mobilisée. Mais en dépit des efforts notables des autorités, l'eau a tout de même débordé dans certains quartiers. De nombreux citoyens se sont retrouvés de facto bloqués pendant un bon bout de temps. Ceci a d'ailleurs semé une panique chez de nombreux citoyens. «La montée du niveau des eaux a provoqué un affolement chez de nombreuses familles qui ont commencé à transférer leurs meubles dans les niveaux supérieurs de leurs habitations croyant que la catastrophe de l'année dernière allait se reproduire une deuxième fois», affirme un habitant de la ville du détroit. Des établissements scolaires ont également été fermés par les autorités locales par mesure de précaution en prévision des conditions météorologiques très perturbées.

Dans la zone industrielle de Tanger, sise au quartier Mghougha, l'une des zones les plus exposées au risque des inondations, la mobilisation était générale. «La situation a été maîtrisée et tout est revenue à la normale. Les éléments du service technique de la wilaya ainsi que la protection civile étaient sur place tôt dans la matinée. Les services d'Amendis, à leur tour, ont été mobilisés pour éviter un scénario similaire à celui de l'année dernière», affirme Mostafa Temsamani, directeur administratif à l'AZIT (association de la zone industrielle de Tanger).

Pour rappel, les entreprises implantées dans cette zone avaient subi de lourds dégâts économiques l'année dernière à cause des inondations. «Un dispositif spécial mis en place en coordination avec les différents partenaires a été activé pour sécuriser la zone industrielle et éviter des débats humain ou matériel. Il a été ainsi procédé aux opérations de curage et d'assainissements des canalisations dans le cadre d'un plan d'anticipation. De même, toutes les usines notamment celles employant un grand nombre de salariés ont été invitées à évacuer leur effectif. Mais fort heureusement, la pluie s'est arrêtée et aucune perte que ce soit au niveau humain ou matériel n'est à signaler», déclare Adil Raïs, président de l'AZIT. Et d'ajouter: «Les travaux pour la construction des infrastructures de protection de la zone industrielle de Tanger contre les inondations viennent de démarrer. Ils devraient s'étaler sur deux ans. Une durée que nous jugeons longue surtout que nous sommes continuellement exposés aux risques des intempéries.

Nous demandons donc aux responsables que les travaux soient accélérés pour que les infrastructures puissent être opérationnelles avant l'hiver prochain». La crainte du président de l'AZIT est justifiée lorsqu'on sait que la majorité des entreprises dans la zone industrielle Mghougha ne sont pas assurées contre les inondations. Ce quartier est en effet répertorié dans la catégorie des zones à risques. Les assurances rejettent toutes les demandes de couverture des dégâts causés par des inondations. Depuis 1982, il y a eu quatre inondations dont deux de faible ampleur. Les troisièmes avaient eu lieu en 1990. L'année dernière, des inondations exceptionnelles avaient englouti la zone. Le niveau des eaux est monté à 1,5 mètre.
--------------------------------------------------------------

Inondations

Plusieurs régions du Maroc avaient été touchées par des inondations l'année dernière. Outre la ville de Tanger, les villes de Nador, Sidi Slimane et Missour ont enregistré des dégâts importants.

Il faut noter que le Maroc dispose d'un plan national de lutte contre les inondations. Ce plan est décliné en plusieurs volets. Le premier est consacré au diagnostic des causes des inondations alors que le second est réservé aux opérations de protection. Pour sa part, le ministère de l'Intérieur pilote un plan quinquennal 2008-2012 qui a comme principal objectif de prévenir les inondations. Le plan consiste à doter les unités territoriales de ressources humaines et de moyens matériels et logistiques nécessaires.

Source : LeMatin

Le Maroc est une destination de voyage de premier choix. Il offre une multitude de possibilité de voyage pour découvrir le pays pour tous les goûts. Internet permet actuellement de programmer votre voyage pour longtemps ou opter pour des voyage pas cher à 15 jours avant votre départ. C'est la formule la plus utilisée maintenant puisqu'elle permet de payer son voyage moins cher.

Publicité
Publicité
Publicité